Tout traumatisme commence donc naturellement par la mise en place de mécanismes de défense, tels que le rejet, l’hyper-mentalisation, l’oubli ou l’humour. Ces réponses coupent temporairement la douleur et permettent, au fur et à mesure, la réintégration progressive et graduelle de la réalité émotive.
Parfois, les nécessités du quotidien, telles que:
- “Faire bonne figure” face à l’entourage
- “Tenir la charge de travail” par obligation
- Le refus pur et simple
- Une amnésie traumatique
peuvent squeezer une ou plusieurs étapes du deuil qui, mal consommé, peut resurgir dans une phase de stress ultérieur quand moins l’on s’y attend. Les résilients ne sont pas des super-héros.