Rien à voir avec l’hypnose ericksonienne qui s’appuie, elle, sur le travail du psychiatre Milton Erickson, à l’origine, dans les années 50, d’une pratique plus permissive. Plutôt que d’appliquer un protocole pré-établi, la séance d’hypnose se base alors sur les connaissances du patient, sa préférences, en bref sa vision consciente du monde. C’est au thérapeute de s’adapter et de mettre au point des suggestions indirectes, plus douces, plus longues, qui peuvent parfois être ressenties comme ennuyeuses par certains sujets.
Encore plus loin de l’Hypnose Flash Intégrative® créée par Gérome Ettzevoglov, qui, reconnue comme une “hypnose ericksonienne aboutie” s’appuie sur des recherches cliniques privées et se nourrit principalement du contenu subjectif du consultant.
En effet, sa subjectivité, source d’émotions variées et du sens que le sujet prête à son existence est exploitée afin d’extraire sa puissance de résonance affective. Les émotions et l’état désiré du sujet deviennent vecteurs de transe hypnotique instantanée.